C’est quelque chose avec laquelle nous composons tous les jours. Même ceux qui prétendent ne pas se soucier de ce qu’ils portent au quotidien choisissent leurs vêtements chaque matin selon des « codes » parfois subconscients. Mieux : notre façon de nous habiller varie selon notre humeur ! Dans le monde ultra-connecté dans lequel nous vivons, nous sommes en permanence bombardés de nouvelles prouesses vestimentaires à travers les clips musicaux, les films, la télévision, les affiches publicitaires, les magazines… Chez le blog Nadame, nous essayons de passer toutes ses tendances au peigne fin pour proposer à notre cher lectorat les bons plans en matière d’habillement, mais aussi de voyage et de loisir.
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Pour le meilleur et pour le pire
Ray-Ban a multiplié ses ventes après le film Men In Black. Il suffit parfois d’un bon placement de produit pour booster « scandaleusement » les ventes d’un produit intéressant… ou complètement inutile ! Et c’est ici que peuvent intervenir les « éclaireuses mode » ou les bloggeuses qui présentent à leur lectorat les produits qui leur semblent intéressants. Mais qui dicte la mode ? Les musiciens, les acteurs et autres icônes culturelles ont toujours eu une influence directe sur nos habitudes d’achat. Les journaux et les magazines de mode scrutent les habitudes vestimentaires des vedettes, et les fashionistas du monde entier s’en inspirent pour le meilleur comme pour le pire.
Les vêtements séparent-ils les individus en groupes ?
La mode est révélatrice. Les vêtements définissent les groupes de personnes. Au lycée, les groupes ont des noms : « gothiques, skateurs, geeks, punks… ». Les styles montrent qui vous êtes, mais ils créent également des stéréotypes et appuient les clichés. Un homme d’affaires en costume cravate pourrait voir en un jeune garçon à la chevelure teintée et aux piercings extravagants un « freak ». De son côté, le business man sera vraisemblablement traité de « conformiste » par les autres. L’acceptation ou le rejet d’un style ne sont finalement que la réaction de la société dans laquelle nous vivons face à une « initiative » personnelle.